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untilAprès un bal compliqué pour certain, sous les orages et le ciel sombre, le troll aura lâché sa pelle et sa pioche du jardin pour se diriger finalement vers le hangars de l'elfe blessé. Les bruits divers indique que quelqu’un s'y trouve. Et après un regard balayant la zone et un appel verbale, une voix lui répond finalement. il lève le nez au ciel et recule, la voix semble venir d'en haut. Et effectivement une silhouette se dessine de manière brève sur les toit, le troll semble en pleine réparation. Le troll surpris s'indigne de sa bêtise "Mais c'est que tu veux en finiw avec un coup d'foud'e man?" Avait il demandé de part le sale temps dehors entre deux éclairs. le grand elfe répond négativement et descend. Torse nue le troll s'avère presque surpris d'y voir son état. Récemment soigné pourtant il affiche bien des blessures et bandage tachés. Il apprendra que l'elfe a été embarqué part Hreingir a l'ile des brumes... régler sa réalité. Quitte a morfler. Tout deux échangerons des points de vu des avis. Tan'zoh le vois comme ce qui devrait être un daron lui aussi de son age et expérience, ainsi qu'il soit parmi les plus vieux du clan mine de rien. Il explique l’inquiétude pour un prochain potentiel a venir a lui vu l'état dans laquelle il se met après 10j passé avec un individu. Drahalan admet q'uil 'est différent des autres, sous les échanges qui opposent les deux races. Il promet que le prochain sera trouvé parmi les étoiles, son mari l'attendant. tout deux échangerons, conseil avec compassion, avant de se dire mutuellement qu'un élève était peut être ce qui l'aiderait a se souvenir de sa place. Une place d'ancien du clan, de membre parmi les plus vieux et expérimenté aussi. Le tonnerre gronde encore au dessus de leur tête, le vent souffle aussi, ce lendemain de bal semble laisser un rappel des être perdu avant et pendant le vide. une ambiance de tristesse submerge bien des cœurs. Yflam ferra son apparition, notant l'état de Drahalan d'ailleurs. Il ne semble pas d'humeur et a défaut de fleur il bois une drôle de fiole. Pour maintenir sa stabilité, le clan le devine assez aisément a ses réactions plus brusque et son humeur massacrante. Le troll rappellera quand même a se dernier de se magner sec pour Ephyris prisonnière il y a de ça deux semaines maintenant dans la glace. une bien mauvaise image pour les alliés et villageois, une honte pour la dragonne et un dur travail de surveillance pour les drakes et vrykuls Une fois le worgen ronchon partie le troll esquivera les discours de Drahalan sur le fait de prendre du temps pour lui. Le troll ne pouvait se permettre de faiblir sous peine de ne pas pouvoir continuer a aider les autres. Bien jeune pour son self contrôle permanent, malgré la mort de Tenebris et drome, les nerfs fatigué, le troll tient bon. Il en pris son Loa tous les jours pour ça. Il donnera pour changer de sujet des conseil pour éventuellement se préparer un jour a un autre élève a gérer. le troll remarquera son sourire lorsqu'il parlait de Djizargo ou de Somos, l'idée de lui laisser un futur membre un jour ne lui semble pas bête du tout Il avouera aussi compter beaucoup sur lui. Plus présent que Hreingir parti vagabonder. Plus stable qu'Yflam les trois quart du temps. Plus adulte que Waka et Djizargo pour des sujet sérieux. L'elfe comprendra avec surprise le rôle attendu sur ce dernier pour le clan en tant que "daron" pour: -soutenir les plus jeunes fraichement arrivé -guidé en tuteur des potentiels futurs membre du clan -gérer les débordement en connaissance des règlements du grand roi -agir comme le souhaiterais le clan de part son expérience sur ces iles. -épauler Tan'zoh L'elfe en sera aussi surpris d'ému. Drahalan semble avoir cette lueur dans le regard, il semble souhaiter reprendre sa vie en main et ne manque pas de choses a montrer a Tan'zoh, notamment des plans et des mecaniques en route. Le troll est rassuré pour l'instant l'elfe ira bien. .. Au suivant!
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Lounie : Les Amoureux de Fort-d'Emeraude
Alynor posted a blog entry in Les contes thalassiens de Lounie
Il était une fois, à l’aube de la Deuxième Guerre, une douce et belle Thalassienne qui s’était éprise d’un charmant et fier Thalassien. Hélas, le sort eut voulu que les amoureux soient issus de deux maisons anciennement alliées et nouvellement rivales. Aussi envoûtante, passionnante et prenante fut leur idylle, celle-ci n’en demeurait pas moins interdite. Aîné de sa maison et sans parents, l’Amoureux était désormais seigneur du château familial, le Fort-Emeraude. Cette place forte avait pour particularité d’être située à l’extrême sud de Quel’thalas, au cœur des forêts régionales et à forte proximité de la frontière trolle. Le château avait pour raison d’être de protéger le Haut-Royaume. Alors que leur amour était d’abord un secret fort bien gardé, le moment vint où les choses se surent. Tandis que la fratrie de l’Amoureux n’était point réellement hostile à cette union, il en fut tout autre pour les parents de l’Amoureuse, qui lui interdirent formellement de fréquenter ce seigneur sous peine d’une « sévère correction ». Éreintée des remontrances et des menaces de ses parents, l’Amoureuse décida, après une énième soirée de reproches, de fuir le palais familial. Elle demanda au premier cocher qu’elle trouva de la conduire au « plus beau château du royaume, auprès du plus charmant sire qui soit ». Sans hésiter la moindre seconde, le vieux cocher la mena au Fort d’Emeraude. Arrivée de nuit, l’Amoureuse se présenta aux portes du château qui, au grand étonnement de la jeune femme, semblait se préparer au combat. L’Amoureux, surpris mais émerveillé à la vue de sa douce, se précipita pour l’accueillir dans ses appartements. Bien consciente qu’il se passait quelque chose de grave, la jeune femme demanda à son compagnon si la guerre était proche. Ne pouvant mentir à sa douce, le galant sire ne put qu’hocher la tête. Les horribles Trolls étaient sur le point de déclarer la guerre au Haut-Royaume, afin de dérober leurs terres et détruire Lune-d’Argent. Grâce à ses immenses remparts, Fort-d’Emeraude était en mesure de tenir face à des milliers de Trolls. C’est ainsi que l’Amoureux rassura sa belle. À son tour, l’Amoureuse lui raconta la raison qui l’avait poussée à venir ici… et lui demanda de la garder auprès de lui, pour l’Eternité. Cette nouvelle ne pouvait que combler le beau sire, malgré son inquiétude constante. Ce qui turlupinait l’Amoureux n’était point tant les stupides et sauvages Trolls, mais plutôt l’imminence de la vengeance des parents de sa belle, tristement célèbres pour leur fourberie. Le beau sire ne croyait pas si bien penser. En effet, le père de l’Amoureuse, un homme aigri et cruel, connaissait fort bien le Fort-d’Emeraude pour y avoir passé une grande partie de sa jeunesse. Il savait quels étaient les points faibles de ce fort et, hélas, comment s’y faufiler nuitamment. C’est ainsi que, par haine et par méchanceté, il se décida à punir les Amoureux de la pire des manières. Sans gêne ni scrupule, il écrivit une missive fort bien garnie, dans laquelle il informa les immondes Trolls de toutes les brèches, spécificités et autres faiblesses du Fort-d’Emeraude. Ne se doutant pas encore de l’immense danger qui les menaçait, les Amoureux profitèrent intensément de leur intimité. Entre baisers chastes, tendres caresses et mots doux, les deux épris s’abandonnèrent à leur passion sincère. De toute la vie des Amoureux, ces délicieux instants furent les plus beaux. Dénués de tout vice et de toute perversité, les épris étaient les plus heureux au monde. Hélas, leurs très chastes ébats nocturnes furent bientôt interrompus par le son des tambours trolls, infiniment proches de leur beau château. Alors que l’Amoureux se précipita vers la fenêtre de son donjon, il aperçut alors des milliers de torches massées devant les murs du Fort-d’Emeraude. Le beau sire, pour sa part, ne pouvait hélas compter que sur sa garnison, forte d’une trentaine de courageux soldats. L’Amoureux était alors persuadé que les Verdâtres devraient livrer un siège prolongé avant de pouvoir s’emparer des murs du château. Néanmoins, à son grand étonnement, il constata qu’au lieu de construire des échelles, les Trolls étaient en train de creuser des galeries en direction du château. Avec effroi, le beau sire se souvint alors qu’auparavant, feu son cher père lui avait parlé d’une ancienne crypte, désormais bouchée, menant jusqu’aux fondations du donjon. Seule une poignée de Thalassiens encore vivants connaissait l’emplacement exact de ce souterrain… et le père de l’Amoureuse en faisait partie. Il n’était qu’une question de temps, avant que les Verdâtres ne parviennent à trouver la galerie et à s’introduire dans le château. La défaite paraissait imminente... et porteuse d’un chagrin des plus immenses pour les deux épris. Si les Trolls prenaient le château, ils pourraient marcher librement contre Lune-d’Argent. À lui seul, leur Amour était sur le point de causer la perte du Haut-Royaume. L’idée de se voir séparer leur paraissait abominable, mais la mort d’innocents Elfes ne l’était pas moins. C’est alors que l’Amoureuse, jeune femme brillante dotée d’un cœur infiniment sensible, vint s’asseoir devant l’écritoire. Les larmes aux yeux, elle rédigea une missive au Roi Anasterian, connu pour sa bonté, son héroïsme et sa sensibilité à l’Amour. Narrant leur histoire par des mots profonds et touchants, elle vint à implorer le soutien royal dans ces instants difficiles. La lettre fut confiée à un brave éclaireur, qui s’en alla la porter à sa Majesté. À la lecture de cette lettre, Anasterian fut si touché et peiné qu’il laissa couler des larmes. Ayant réuni ses trois généraux, sa Majesté fut concise dans ses mots : « Annulez toutes les campagnes en cours et rassemblez l’armée au plus vite. L’Amour est en péril, et nous devons le sauver. » Au Fort-d’Emeraude, tout espoir semblait sur le point de quitter les habitants. Dans le seul but d’effrayer les pauvres enfants, les immondes trolls se mirent à catapulter des crânes au sein du château. Ainsi, trois jours passèrent sans que les Amoureux n’aient des nouvelles de la part du messager. Mais au bout du quatrième jour, le miracle se produisit : un véritable océan bleuté se fit voir en direction du Nord. Au son du clairon, des milliers de soldats elfiques marchaient courageusement face à l’abject ennemi, prêts au combat. Les Trolls, surpris par leur arrivée car obnubilés par leurs engins de siège, furent contraints de laisser les forces royales entrer au Fort d’Emeraude, tout en se préparant à prendre d’assaut le château. Cependant, les braves Elfes ne leur laissèrent point le temps d’agir. Leurs forces ainsi réunies, le bon Roi Anasterian et l’Amoureux menèrent la charge contre les envahisseurs. Par le pouvoir de l’Amour, les courageux Elfes parvinrent à repousser les horribles Trolls jusqu’à leur taudis. La bataille indubitablement gagnée, les Amoureux décidèrent de fêter cette belle victoire en organisant un somptueux banquet dans le donjon de Fort-d’Emeraude et en y convient leur libérateur. Afin d’honorer le Grand Roi, le repas fut des plus riches et des plus copieux. Plus d’une dizaine de services se succédèrent, régalant les convives et extirpant même ces savoureux mots au bon Anasterian, gages de son admirable modestie : « C’est trop d’honneur ! ». Au terme de ce somptueux festin, l’Amoureux profita de la belle occasion pour se lever et, avec cette illustre assemblée en guise de témoins, demander la main de sa belle. Les larmes aux yeux, la jeune femme accepta et, sous un tonnerre d’applaudissements, un baiser passionné s’ensuivit. Une fois de retour à Lune-d’Argent, sa Majesté ordonna l’arrestation du cruel père de l’Amoureuse, et son emprisonnement pour haute trahison envers Quel’thalas. Victorieux et acclamé comme le héros qu’il a toujours été, le bon Roi fit régner la paix dans le Haut-Royaume durant encore de longues années. Alors qu’un conseiller lui proposa de célébrer l’anniversaire de la bataille comme la « libération de Fort-d’Emeraude », Anasterian rejeta cette idée. À la place, en merveilleux Roi qu’il fut, il décréta que le 3 septembre serait désormais connu comme la Fête des Amoureux, qui célébrerait aussi bien les Amours conventionnelles que les Amours interdites. Enfin libres de vivre leur passion, les deux Amoureux profitèrent de chaque instant passé ensemble. Ayant organisé un mariage discret avec la Lune pour seule témoin, ils scellèrent leur amour pour l’Eternité, vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. -
Mon vrai Soleil de Lordaeron : Tes Murmures (Chapitre 1)
Grikke posted a blog entry in Récits Grikkiens
Musique d'ambiance 10 ans ont passé depuis la tentative d'invasion du Fléau, 10 ans depuis lesquels notre peuple a connu le plus puissant âge d'or et pourtant... C'est maintenant plus que jamais que ma douleur se fait ressentir, plus les années passent plus les gens sont heureux, les éloignant toujours plus de cette invasion qui aurait pu nous être fatal mais moi cela m'éloigne surtout de mon amour. Alors que la plupart des belore'dorei planifient déjà leur vie après l'invasion du Royaume d'Hurlevent moi je ne peux m'empêcher de repenser à mon passé à l'invasion du fléau, ses murmures me hantent toujours la nuit et je sais que je ne retrouverai le sommeil que quand je l'aurai retrouvé saine ou... Mes pas m'ont donc ramené à notre ville natale, Quel'Manil abandonné juste après l'invasion et saccagé par le fléau. La vie a perdu ses droits ici et pourtant mon coeur rebat en voyant la statue où plus jeune nous nous étions promis innocemment l'un à l'autre, au fur et à mesure qu'on grandissait mon amour lui aussi devenait jour après jour plus important. Alors lorsque le Fléau menaçait la ville, j'avais déjà décidé de prendre les armes pour te défendre toi ainsi que les miens, prenant mon courage à 2 mains je me suis décidé à suivre Sylvanas dans sa traque des morts-vivants. Nous étions caché derrière quelques gros arbres, que je ne saurai décrire autrement, Anub'arak et ses serviteurs avançaient d'un pas lent, ou plutôt rapide pour sa race je présume, tout était calme et alors que Sylvanas lançait la charge, je fonçais déjà sur un nérubien proche de moi et lui tranchais la tête avant de reprendre directement mon assaut sur une deuxième abomination. Alors qu'ils tombaient tous et qu'Anub'arak ne pouvaient plus supporter les assauts répétés de Sylvanas et de quelques autres forestiers, je reprenais mon épée et regarder les quelques corps de mes compagnons tombés au combat, ils s'étaient sacrifiés pour une cause qui plus que jamais était juste. Soudain un éclaireur de Sylvanas est arrivé, à bout de souffle, ces mots restaient clairs : "Ils ont pris Quel"Manil, ils massacrent tout le monde, quelques habitants ont p... fuir..." Il manqua de peu de d'évacuer son mal de ventre au pied de Sylvanas mais se retint par respect avant de s'éloigner rapidement dans le bois. Mais soudain un mal semblable au sien m'envahit, elle était là bas, elle était à Quel'Manil lors de l'assaut. Je ne pouvais pas permettre qu'il lui soit arrivé quelque chose. Sylvanas, qui me voyait prêt à partir sauver Quel'Manil seul, me retint par un simple mot : "C'est fini là-bas, quoi qu'il soit arrivé à ce que tu aimes, que tu veuilles les venger ou protéger, tu nous seras plus utile ici qu'en mort vivant décérébré." Elle avait raison, cela ne servait à rien de risquer ma vie inutilement surtout si elle était encore en vie. C'est à ce moment que nous avons appris qu'Arthas était en route pour la Flèche de Coursevent. Sylvanas, suivant le conseil qu'elle venait de me donner, décida de couper les lignes de ravitaillement du Fléau afin d'encercler Arthas, rien ne me faisait plus plaisir à ce moment là que de massacrer des morts-vivants. Arthas se voyant encerclé tenta vainement de résister mais ne put échapper à son sort. Rien dans ce monde ne le pouvait. Une première flèche vint se planter dans sa gorge, une deuxième dans sa tête et il n'eut pas le temps de prononcer ses dernières paroles. Le Fléau étant vaincu, nous revenions à Lune-d'Argent accueilli comme des héros mais ce n'était pas ce qui m'importait en réalité. Tout ce qui m'intéressait c'était de la revoir. Je la cherchais en vain dans la foule. Anasterian ne vint pas me rassurer mais bien au contraire : "Quelque chose semble vous chagriner. Quoi ? - Ma famille et mon amour d'enfance ont disparu à Quel'Manil, ils font peut être parti des survivants mais où sont-ils ces survivants ? - J'ai bien peur que dans la panique ils aient fuit dans tous les sens, mes gardes m'ont assuré ne pas avoir pu contrôler la situation, je suis désolé pour vous mais la victoire n'est jamais totale..." Savoir qu'elle n'était pas là, savoir que la victoire ne m'avait apporté aucun réconfort mais ne m'avait finalement donné que plus de chagrin me rendit fou. En rentrant à Quel'Manil, je croyais avoir toutes les réponses, mais je ne vois ici que des souvenirs et aucune indice sur l'endroit où tu as pu fuir. Noraeda.-
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- amour
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(and 2 more)
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